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Comment accepter la mort?

Comment accepter la mort?

Comment accepter la mort?

Comment vivre après un décès?

Comment être avec le chagrin?

Comment accepter l’inacceptable?

Comment continuer sans l’autre?

Comment ne pas trahir le-la disparue-e?

Besoin de se recueillir?

Construire du nouveau?

Que comprendre?

Quel est le sens de l’existence?

 

Sujet vaste pouvant être abordé sous des angles différents: psychologique, philosophique, culturel, médical, spirituel…

Comment accepter la disparition d’un être aimé?

 

Je propose un ATELIER dont le plan est en-dessous, avec des poèmes, des contes, des fleurs, des exercices, des jeux de rôle, des partages, des méditations guidées, de l’écoute, de l’affection, du respect, de la bienveillance…

 

Et je propose cet ARTICLE pour vous transmettre de jolis mots, des lueurs de jours meilleurs, des couleurs dans votre ciel, de joyeux souvenirs, de la lumière…

 

Des morts sont imminentes.

Des morts sont à petit feu.

Des morts sont volontaires.

Des morts sont criminelles.

Des morts sont un soulagement.

Des morts n’en sont pas.

Des morts sont soudaines.

 

Toutes les morts sont un mystère.

 

Nous pouvons nous préparer à la mort de nos êtres chers mais nous ne sommes jamais prêt-e-s.

 

J’ai traversé de nombreuses fois les nuages sombres du deuil et ressenti la douleur de mes proches.

 


Comment accepter la mort quand on est un enfant?

Que ressent un enfant devant la mort d’un proche?

Avez-vous vécu une disparition d’un proche dans l’enfance?

Avant 5 ans, il est dit que la mort ne retient pas totalement l’attention de l’enfant car il se structure principalement par la relation avec sa mère.

L’enfant commencerait le deuil et laisserait une partie pour plus tard.

La mort d’un proche peut être vécue comme un abandon produisant une blessure sur laquelle il aura besoin de revenir plus tard.

Si un enfant paraît ne pas souffrir, c’est qu’il ne trouve ni les moyens, ni la possibilité de l’exprimer.

L’enfant peut avoir aussi de forts sentiments inconscients de culpabilité.

Il peut développer toutes sortes de croyances en entendant les adultes.

Il peut penser que la mort est contagieuse et que ses proches sont en danger.

Rassurer un enfant est primordial !

 

Je vous propose aussi de lire Le conte du petit garçon qui croyait que mourir c’était ne plus exister (Contes à guérir, contes à grandir, Jacques Salomé).

 


Perdre un enfant est la chose la plus horrible qui soit

N’hésitez pas à vous faire accompagner, à en parler, à exprimer votre chagrin immense, votre incompréhension, le non-sens, l’injustice que vous pouvez ressentir.

 

« Viens à mon aide petit garçon de mon jeune âge

Qui ne subira pas du vieil âge l’assaut

Remplis la profondeur de l’abîme où je nage

D’espérance et de joie comme au temps du berceau

Chasse de mon esprit la tentation du doute

Le regret lancinant de ne t’avoir aimé

Que maladroitement tout au long de ta route

Ô mon fils apprends-moi que l’amour de ton être

Si épris de la vie jamais ne périra

Aide moi à survivre, à mourir, à renaître

Près de toi, un beau jour, quand l’heure sonnera. »

Page 226 du livre Ecouter mourir de Suzanne Hervier

 


Mort solitaire

Nous mourons seul-e-s.

Chaque fin de vie est différente et pourtant des similitudes sont observées.

Besoin de dormir, de faire un bilan, d’appeler « maman »…

Besoin de rentrer « à la maison », de retrouver quelqu’un-e… 

Il peut y avoir une éternité dans l’amour de 2 êtres.

 

Je vous propose quelques exemples issus du livre Vivre avec les morts et les mourants, Elisabeth Kubler-Ross dans mon livret numérique.

 


Besoin d’appartenance

Comme l’a traduit Maslow dans sa pyramide, le besoin d’appartenance à un groupe existe à tout âge. Que ce soit à un groupe familial, sportif, associatif, professionnel, philosophique, ou à un groupe de valeurs communes.

La fin de vie peut être un mélange de besoins:

  • de se sentir aimé-e, proche, intégré-e dans son groupe, 
  • d’être reconnu-e comme individu individualisé et faisant partie du groupe,
  • de raconter
  • de rire
  • de toucher, d’être touché-e
  • de besoin de solitude, de silence…

Ne négligez pas de communiquer, de questionner la personne en fin de vie.

La pudeur, la peur de déranger peuvent freiner.

Vous pouvez le faire avec délicatesse.

Faites-le avant le dernier signe.                                              

« Comme si le pressentiment de la mort proche suscitait un dernier élan de vie destiné à aller au bout de soi-même, à aller au bout de l’œuvre de sa vie. »

DE HENNEZEL Marie et Bertrand VERGELY, Une vie pour se mettre au monde.

 

Demandez-moi la liste des questions à poser à une personne en fin de vie.

 


Comment accepter la mort? Le cycle de la vie et de la mort

La fin de vie est plus ou moins douloureuse, comme une naissance.

Les contractions sont douloureuses et pourtant elles créent la vie.

 

Plongez dans le cycle de la vie et de la mort !

 

« Là où il y a de la mort, il y a de la vie. On ne fait pas rien en mourant. On participe à une œuvre de transmission et de renouvellement. »

DE HENNEZEL Marie et Bertrand VERGELY, Une vie pour se mettre au monde.

 

Le cycle de la vie et de la mort est inscrit dans notre nature sauvage profonde comme le décrit Clarissa Pinkola Estés dans son livre «Femmes qui courent avec les loups».

 

 

« La vie est dans la mort

La mort aidant la vie

La mort est dans la vie

La vie aidant la mort. »

Jacques Prévert

 

Je vous transmets aussi l’histoire de Cérès si vous le souhaitez.

 


Les émotions

Regardez en vous!

« La souffrance, la mort, le deuil transforment l’être s’il accepte de faire une halte et d’écouter ce qui se passe en lui. »

« Écouter mourir » de Suzanne Hervier

 

Mais ne restez pas seul-e pour effectuer cette introspection ; vous risqueriez de tourner en rond et d’entretenir des émotions délétères.

Les émotions ont besoin d’être extériorisées, mises en mouvement, par la parole, les cris, la danse, le dessin, l’écriture…

 

Pour libérer la culpabilité

Pour hurler l’injustice

Pour extérioriser les reproches

Pour consoler votre enfant intérieur

Pour accueillir votre peine

Pour grandir intérieurement

Pour retrouver une autonomie

Pour réinvestir votre vie

Pour apprendre à vivre avec soi (Jacques Salomé)

Pour transformer une expérience douloureuse en événement fondateur et créateur

Pour reconnaître vos ambivalences…

 

«Les mots manquent aux émotions.» Victor Hugo 

 

«Les émotions vont se bousculer, être amplifiées, elles vont nous épuiser, nous étonner, nous rendre malades, nous allons avoir honte d’en éprouver certaines au point que nous n’en parlerions à personne pour rien au monde, et quand nous en parlons, nous ne sommes pas compris, et, parfois, elles sont tellement inattendues, ces émotions, que nous préférons nous les cacher à nous-mêmes et essayer de donner le visage triste et lisse que la société attend de nous. Or, le vrai deuil, celui qui nous fait évoluer face à la perte, ne peut s’accommoder de tels arrangements, car si nous ne vivons pas ces émotions, telles qu’elles sont, dans leur force et leur complexité, il restera des zones d’ombre qui nous laisseront bloqués, fermés en nous-mêmes. Le deuil fait ne sera qu’apparent, et nous retrouverons au détour d’autres épreuves de notre vie ces émotions contenues, retenues, enfouies.

Il faut donc vivre cet ouragan émotionnel, et, pour le vivre, il vaut mieux le connaître, savoir ce à quoi on va devoir faire face.»

Le Deuil, Nadine Beauthéac

 

Respiration pour extérioriser des émotions pénibles : SDN

Ou de façon plus douce : respirez dans votre cœur.

Autres respirations ici

 

Osez les vivre !

Autorisez-vous à exprimer vos émotions, vos questionnements… 

Sentiment d’abandon, de vide, d’absence, de manque, de solitude…

Observez vos comportements (déni, surmenage, suractivité, peurs…) 

 

« La mort n’est pas un « vide » vide. Elle est un vide qui laisse des traces. Un vide plein. Les autres vivent en nous. Nous vivons en eux … La mort nous lie les uns aux autres et nous montre comme nous sommes liés. Nous ne sommes pas seuls au monde. »

DE HENNEZEL Marie et Bertrand VERGELY, Une vie pour se mettre au monde.

 

« La solitude s’apprivoise en s’aimant assez pour ne jamais s’ennuyer assez avec soi-même. »

Evelyne Montourcy

 

Découvrez des contes, des méditations guidées, des techniques de sophrologie en atelier de groupe ou en individuel.

Vous avez le droit de vous sentir serein-e.

 


Célébration

Je propose des rituels, prières, lettres…

Vivez un rituel de purification des émotions de la roue de médecine.

 

Relire ou écouter ici le poème « Arrêtez les pendules », écrit par Wystan Hugh Auden (1907-1973).

 

Retrouver l’article: Habitude, rituel ou routine: quelle est la différence?

 


Courbe de deuil 

Elle correspond à un processus de cheminement après la perte d’un proche.

Elle est valable pour toute perte.

Elle comporte une pente descendante et une pente ascendante, de droite à gauche, constituée d’étapes comme le déni, la colère, la tristesse, l’acceptation, la renaissance.

 

« Je les ai toutes parcourues, à l’endroit, à l’envers, chacune leur tour, dans l’ordre et le désordre. »

Evelyne Montourcy

 

Car oui, nous faisons des allers et retours sur ce chemin.

Et au bout de la pente ascendante, vous pourrez considérer que votre deuil est fait.

 

Courbe sur demande.

 

De jolis textes et d’autres conseils dans le livret numérique pour vous accompagner.

 

Rencontre avec le-la disparue possible sous hypnose (en séance individuelle) (ce n’est pas de la médiumnité).

 

Le deuil n’est peut-être pas encore fait, mais la vie est là, alors vivez !

 

« Nous sommes faits pour la vie. Celle-ci agit quand on la laisse agir. Nous allons dans la souffrance, la vieillesse et la mort, quand nous ne la laissons pas agir. »

DE HENNEZEL Marie et Bertrand VERGELY, Une vie pour se mettre au monde.

 

 


Un ATELIER  – sur demande – pour un groupe –  en ligne ou en présentiel – chez moi ou chez vous – qui vous concerne, qui est pour tout le monde, les femmes et les hommes,

que la perte soit récente, ancienne ou future,

que vous soyez tristes, en colère, en questionnement,

Et pour celles et ceux qui sont en paix, qui se sont créées une nouvelle vie, et qui veulent aider les autres.

 

Le prochain atelier aura lieu le 15/08/2021 en présentiel.                                                                             

« Merci Bénédicte pour ce super atelier, joie, pleurs, des émotions déposées et toujours de supers rencontres💜💛❤💚💟 » Rebecca
Autre date sur demande.

 

Une SÉANCE INDIVIDUELLE DE FLEURS DE BACH ou d’HYPNOSE

INSCRIPTIONS ICI.

 

Un GUIDE sous forme de livret numérique = 7 €

ou en version papier chez vous = 10 €

Demande via le formulaire de contact.

 

Merci d’avoir lu et partagé 😊

 


Plan de l’atelier « Comment accepter la mort? » :

La fin de vie

  • Les questions à poser avec simplicité
  • Conte

Les enfants

  • Devant la mort
  • Perdre un enfant
  • Mourir enfant

La mort solitaire

Le besoin d’appartenance

  • En fin de vie
  • Après le décès

Le cycle de la vie et de la mort

L’impermanence

Les émotions

  • Regarder en soi
  • Pourquoi nommer les émotions, les exprimer, parler?
  • S’autoriser à exprimer ses questionnements… 
  • Observer ses comportements et ses ressentis
  • Le silence
  • Le vide
  • Le manque
  • La solitude
  • Les peurs, peur de mourir, peurs de la mort des autres,
  • Culpabilité, la tristesse…
  • Différence entre deuil et EDC (Épisode Dépressif Caractérisé) 
  • Le réconfort

Célébration

  • Lettres
  • Prières
  • Rituels

Courbe de deuil 

Le-la disparu-e vous parle

  • Des textes pour vous
  • Rencontre avec le-la disparue sous hypnose (en séance individuelle)

Un symbole

Écouter les messages que la vie et la mort vous donnent

  • Quels sont les messages pour vous ?
  • Est-il-elle toujours là ? 
  • L’astral
  • Le chemin par le Tarot

Vivre

Revivre, renaître

Du nouveau

Quelles fleurs pour vous accompagner ?

  • Plantes (phyto)
  • Fleurs de Bach
  • Bourgeons (gemmothérapie)
  • Huiles essentielles

Vers la lumière

Êtes-vous vivant-e ?

Explorer l’idée de votre propre mort

Le sens de la vie

 


Un peu de bibliographie

  • Les rêves et la mort, Marie-Louise Von Franz
  • Le Deuil, Nadine Beauthéac
  • La cinquième montagne, Paulo Coelho
  • La lumière dans la nuit, Instants de vie, Evelyne Montourcy
  • L’homme-joie, Christian Bobin
  • Une vie pour se mettre au monde, Marie De Hennezel et Bertrand Vergely
  • Écouter mourir, Suzanne Hervier
  • Ce héros qui est en chacun de nous, Laureline Amanieux
  • Atlas de la flore lorraine de Floraine (Association des botanistes lorrains)
  • La phytembryothérapie, l’embryon de la gemmothérapie, Docteurs Franck Ledoux et Gérard Guéniot, Editions Amyris

Et filmographie

Petits arrangements avec la mort de Pascale Ferran, sorti en 1994, César du meilleur film et du meilleur espoir masculin. Bande annonce.

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Sophie
28 juin 2021 20 h 13 min

Bonjour Bénédicte, « accepter la mort » ce n’est certes pas un sujet évident à abordé mais je trouve que tu l’as fait avec brio et tout en poésie avec ces petits mots et autres billets d’humeur. Cela laisse entrevoir un atelier de qualité pour ceux qui en ressente le besoin :).

Rémi
30 juin 2021 17 h 43 min

La mort nous rend tristes, alors qu’on devrait être content de libération de son âme. Mais également ne plus avoir peur de la mort , pour mieux-vivre tout simplement 😉

Céline - Les Secrets de Hashimoto
2 juillet 2021 6 h 10 min

Quelle bonne idée de créer des ateliers et des groupes d’accompagnement au deuil! C’est déjà un travail sur soi que d’accepter d’être guidé et accompagné dans ce processus.

Nicolas
6 juillet 2021 18 h 26 min

Est-il possible d’anticiper notre réaction à la mort d’un proche ??? Je ne pense pas, donc difficile de savoir quelle philosophie est la nôtre. C’est un peu comme l’amour je trouve, chacun le vit de manière propre et parfois si différente. Merci pour ces réflexions Bénédicte, très jolis textes !